Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Poitrine

  • La poitrine est signe d’érudition, de savoir, de science, affabilité, piété, droiture, et l’interprétation devra se faire selon la largeur de la poitrine.
  • Poitrine large est quelquefois signe de générosité
  • étroite: d’avarice.
  • La poitrine se référé quelquefois à la bourse, ou au coffre-fort du songeur.
  • Rêver qu’on a la poitrine en pierre: coeur dur
  • si la poitrine vous fait mal: dépenses mal faites.
  • On considère encore la poitrine comme: signe d’espoir, amitié, succès, santé, joie.
  • Belle, large, forte poitrine: longévité, biens, grands succès dans les affaires, force
  • tout le contraire si on rêve de l’avoir maigre et chétive.
  • Poitrine velue: force, biens, prospérité, gros bénéfices pour un homme
  • pour une femme: veuvage ou séparation.
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Gazelle

  • Gazelle qui vient au devant de vous en menaçant: révolte de votre femme
  • courir après une gazelle : accroissement de force et de puissance
  • aller à la chasse d’une gazelle: on séduira une belle femme
  • si vous êtes sur le point de I’attraper: après 1’avoir séduite, vous 1’épouserez
  • lancer une pierre, un caillou à une gazelle: vous frapperez votre femme, ou vous la répudierez, ou la délaisserez pour une autre
  • tirer de l’arc contre une gazelle : vous amènerez une femme à satisfaire vos désirs
  • attraper une gazelle : héritage et bien être
  • la prendre: possession honnête de richesses, mariage avec une belle femme, pieuse, honnête et charitable
  • la porter à la maison: mariage d’un fils
  • tirer une gazelle et lui lever la peau: on aura malgré soi des rapports avec une femme
  • en manger les chairs: richesses que 1’on obtiendra avec l’aide d’une femme
  • être changé en gazelle: vous filerez des jours d’or et de soie.
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Gemme

  • pierre précieuse: une liaison sentimentale vous donne une certaine sécurité.
  • offrir une gemme: vous désirez l’amour d’une personne.
  • recevoir une gemme: quelqu’un vous déclarera son amour.
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Le fonctionnement des rêves

A quoi servent les rêves ??

darksouls1 / Pixabay

Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques.  » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.

Le rêve comme purge du cerveau

 

D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf  » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.

 

Le rêve comme soupape de l’esprit

 

Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.

 

Le rêve comme entretien des circuits neuronaux

 

Selon la théorie du « rêve sentinelle  » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le  » comportement onirique  » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.

 

Le rêve comme gardien du sommeil

cocoparisienne / Pixabay

L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.

 

Le rêve comme apprentissage

 

En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique  » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.

 

Le rêve comme création artistique

 

Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.

 

Le rêve comme adaptation psychosociale

 

Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.

 

Le rêve comme rappel à l’ordre

 

Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.

 

Le rêve comme gardien des comportements spécifiques

 

Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.

 

Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96

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La méditation

Une autre façon de reposer son soi !

 

 

La méditation, pratique au cœur de certaines religion ou autre forme plus récente de spiritualité permet, grâce à une concentration centralisée, de se ‘régénérer’ mais surtout de se reposer intellectuellement.

D’après une étude américaine, il est prouvé que la méditation modifie de façon durale le fonctionnement du cerveau.

 Meditation

Une pratique pas si facile :

 

Malheureusement la méditation n’est pas une chose simple à réaliser, l’environnement et la condition de la personne qui tente cette pratique est très importante.

En effet il faut arriver à trouver un endroit calme, reposant. Les bruits ou interaction extérieures sont des éléments qui empêche la bonne pratique de la méditation.

Il existe plusieurs technique pour obtenir la méditation, certaines pratique comme celles du yoga ou du tantra, certaines rattachées à des religions ou complètement corrélées.

La principale forme de méditation bien connue consiste à trouver un endroit calme, de préférence devant un mur ou dans un pièce sombre puis de trouver une posture confortable et concentrer son attention sur un objet ou une pensée afin de pouvoir faire le vide et élimer toute forme d’interaction visant à « déconcerter » le méditant.

Une petite recherche sur notre ami google vous permettra d’avoir des modes d’emploi à une bonne méditation ce qui n’est pas le but de cet article.

Les biens faits :

 

Si les neurologues savaient depuis longtemps que le cerveau d’un méditant a un fonctionnement sensiblement différent de ce son fonctionnement dans un état normal, l’étude américaine montre que la méditation peut aussi engendrer des modification neuronales plus durables, en gros une personne qui médite modifie son cerveau de façon plus pérenne.

Une méditation régulière permet de devenir moins sensible au stimulations de l’environnement, l’idée c’est que notre méditant sera moins sensible de façon émotionnelle au stimulus extérieur, vers une stabilité émotionnel plus durable.

Et pourquoi parler de ça sur vos-reves.com ?

 

J’y viens, l’idée c’est que le rêve permet de reposer notre conscience en faisant le ménage de notre activité journalière, du coup la méditation serai un complément aux rêve, le fait de pratique un demi par jour de méditation pourrais permettre une meilleurs stabilité émotionnel, mais aussi vous permettre d’avoir une meilleur concentration.

Le rêve permet de faire un reset émotionnel de notre vécu et de notre journée… La méditation est clairement un complément à ce procédé.

Pour conclure,

Un esprit sain dans un corps sain, déjà entre un bon sommeil et une petite méditation l’esprit se porte mieux… pour le corps, je vous propose de faire un peu de yoga qui cumul une pseudo pratique de la méditation ainsi qu’un entretien physique, que demander de plus, d’une pierre 2 coups.

Sur ce bonne méditation et faites de beaux rêves.

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