Nous avons trouvé les résultats suivants dans le dictionnaire des rêves :

Accident

  • Rêve prémonitoire: prudence dans la rue.
  • Que l’on voit : mise en garde contre des relations avec des personnes agissant à la légère.
  • Que l’on a : des relations avec des personnes agissant à la légère seront la cause de dommages ou de désavantages.
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Acteur (de cinéma)

Acteur

  • L’acteur que l’on voit : un désir irréalisable empêche de voir le bonheur à portée de la main.
  • Que l’on est : relations dans un milieu où l’on ne se sent pas à l’aise.
  • Les acteurs sont symbole de grande satisfaction.
  • Se voir acteur : inquiétudes.
  • L’acteur est symbole de prudence! On cherche à montrer sous un faux jour votre vie et votre caractère.
  • Que l’on voit ou avec lequel on a des relations : on fera la connaissance de personnes très intéressantes et on en retirera beaucoup de joie ou de plaisir.

Actrice

  • Si vous êtes en couple, méfiance, une femme tente de vous séduire et cela risque de vous posez des problèmes.
  • Si vous êtes célibataire, faites attention aux choix que vous allez faire dans votre vie sentimentale.
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Pêcher

  • On va au devant de dangers et d’incertitudes, mais on retrouvera son équilibre.
  • Se voir pêcher : on retrouve son équilibre intérieur.
  • Voir des tiers pêcher à la ligne : l’occasion d’une bonne camaraderie.
  • Pêcher de gros poissons dans l’eau claire : chance et succès.
  • Rêver qu’on pêche et qu’on prend les poissons qu’on désire signifie clairement le succès complet
  • le contraire indiquerait l’échec.
  • Maintenant, retirer de l’eau quelque chose d’autre que du poisson indique qu’en recherchant un bénéfice ou en poursuivant un but quelconque on obtiendra quelque chose à quoi l’on n’avait pas pensé.
  • Observer ce que signifie la chose ainsi pêchée.
  • L’eau claire ou trouble importe aussi: Voir eau.
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eczéma

  • Souvent lié aux relations avec vos amis, indique que les relations avec ces derniers risquent d’être tendus.
  • Plus l’eczéma sera important plus les conflits seront grands.
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sandwich

Les significations du sandwich dans les rêves :

 

Il faut voir le sandwich part son coté rapide et efficace et aussi le symbole du repas rapide car manque de temps. Dans les rêves se voir en manger un peu indiquer une certaine forme de stress et l’impression de ne pas avoir le temps de faire tout ce que vous devriez.

 

sandwich

 

Votre rêve peut aussi signifier le besoin de régler rapidement une situation qui devient problématique et la force de trouver une solution qui mettra rapidement d’accord les parties en question.

 

Pour finir le sandwich est aussi le symbole de la nourriture pas cher, on peu donc y voir le sentiment que le rêveur n’arrive pas à faire ce qu’il voudrais et par ce symbole qu’il trouve des solutions pour tout de même pouvoir faire ce qu’il souhaite.

 

Autres significations du sandwich:

 

  • Besoin de faire le point.
  • En voir un, indique un sentiment de stress.
  • En manger un, signification d’un besoin de temps.
  • Peut aussi indiquer dans certain le besoin de vacances pour vous reposer de votre train train quotidien.

 

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Le fonctionnement des rêves

A quoi servent les rêves ??

darksouls1 / Pixabay

Tant que nous étions sous l’empire des dieux écrit Françoise Parot, nous n’avions aucune raison de nous interroger sur l’utilité de ces activités oniriques.  » Il fallut attendre la fin du XIXe siècle pour que soient prêtés au rêve des rôles intégrés au fonctionnement cérébral. A partir des années 60, on recherche surtout les fonctions possibles du sommeil paradoxal pendant lequel surviennent les rêves. Malgré les espoirs suscités par les sciences neurologiques, aucune théorie n’a trouvé aujourd’hui de support expérimental solide. En particulier, les expériences de privation de sommeil paradoxal, qui perturbent le déroulement normal du sommeil, ne semblent pas entrainer de troubles caractéristiques. Est-il vraiment pertinent de poser la question d’une fonction biologique des rêves au même titre que la nutrition ou la respiration ? Ce vide théorique laisse le champ libre à certaines conceptions traditionnelles, dont nos idées demeurent plus ou moins héritières.

Le rêve comme purge du cerveau

 

D�après l’allemand W, Robert, en 1886, le rêve est l’effet d’un processus somatique d’élimination de pensées étouffées dans l’oeuf  » : on ne peut évacuer les impressions informes et les pensées non élaborées, sources de tension psychique, qu’en les complétant par des emprunts à l’imagination. S’il ne s’agit pas ici d’un processus psychique, la notion de mise en scène, véritable fabrication de l’imagerie onirique, est commune à la théorie de Freud. On retrouve cette idée un siècle plus tard, en 1983, dans la théorie de Francis Crick et Graeme Mitchison, pour laquelle le rêve est un processus d’oubli : isolé pendant le sommeil paradoxal, le réseau neuronal serait purgé des informations parasites grâce à l’activation aléatoire des ondes PGO. Mais il reste alors à expliquer comment s’effectue le tri entre ce qui est signifiant et ce qui ne l’est pas.

 

Le rêve comme soupape de l’esprit

 

Avec la publication de Die Traumdeutung en 1899, Sigmund Freud marque pour longtemps les esprits. Selon lui, l’homme forme des désirs et des pulsions qui, inacceptables pour la conscience, sont refoulés par celle-ci. Il leur correspond une énergie emmagasinée que le cerveau doit évacuer pour se soulager d’une tension psychique. Le rêve autorise cette libération en déguisant ces désirs au moyen d’une mise en scène de matériaux mnésiques et symboliques. Les arguments physiologiques avancés par Freud ont été largement réfutés. L’hypothèse que les rêves se nourrissent des conflits de la petite enfance est remise en cause par la probable existence de sommeil paradoxal chez les nouveau-nés et certains animaux. Traditionnellement opposée à celle de Freud, la théorie de Carl Jung, au début du XXe siècle, envisage le rêve comme un moyen d’accès direct à l’inconscient individuel au sein d’un inconscient collectif, et révèle davantage les conflits actuels que ceux de l’enfance. Ces deux théories se rejoignent pourtant, en ce sens que le rêve découvre et régule les désirs et les affres de l’individu dans son intégration à l’environnement.

 

Le rêve comme entretien des circuits neuronaux

 

Selon la théorie du « rêve sentinelle  » de Snyder (1966), la stimulation corticale pendant le sommeil paradoxal permettrait à l’animal endormi de rester prêt à réagir rapidement en cas de péril. Mais le seuil d’éveil plus élevé au cours de cette phase et le fait que l’on observe plus de sommeil paradoxal chez les animaux les moins sujets à la prédation ne plaident pas en faveur de cette hypothèse. J. Allan Hobson a proposé que le sommeil paradoxal autorise à la fois le repos du système nerveux de la motricité et de l’attention et l’excitation du système nerveux non fatigable, en particulier des circuits essentiels ou des circuits servant peu fréquemment. De cette activation découlerait la synthèse par le cortex des scénarios oniriques. Comme le suggéra Edouard Claparède en 1905, le rêve pourrait être un exercice de création permettant la réactivation de processus mentaux et le test de comportements innés ou acquis, ce que peut illustrer l’expérience de Michel Jouvet et de Jean-Pierre Sastre sur le  » comportement onirique  » du chat : celui-ci, après une lésion du Locus coeruleus a (qui inhibe le système moteur pendant le sommeil paradoxal), semble mimer des comportements instinctifs typiques. Cependant, la privation de cette phase de sommeil ne met pas en évidence une altération des comportements instinctifs.

 

Le rêve comme gardien du sommeil

cocoparisienne / Pixabay

L’te;e que le rêve préserve le dormeur d’un réveil intempestif apparaît dans la théorie de Freud, pour qui la satisfaction hallucinatoire rend tolérable les vérités refoulées du sujet conscient, et prétend ainsi expliquer le cauchemar comme un échec du rêve. Elle est aussi présente dans l’hypothèse de Frederick Snyder pour laquelle les productions gratifiantes des rêves assureraient la continuité du sommeil afin d’amoindrir le stress du maintien de la vigilance. Si les hypothèses de Freud et de Snyder diffèrent par la nature des causes du stress, elles ne sont pas antinomiques pour autant : chaque espèce pourrait avoir à se préserver du stress de la régulation de ses propres tensions.

 

Le rêve comme apprentissage

 

En 1966, Howard Roffwarg, Joseph Muzio et William Dement, après s’être interrogés sur l’existence d’un sommeil « sismique  » prénatal et sur la prédominance du sommeil paradoxal après la naissance, ont proposé que le sommeil paradoxal jouait un rôle déterminant dans la maturation du système nerveux central à une période où le cerveau manque de stimulations externes. Mais cette thèse n’a jamais été confirmée et explique mal la persistance de sommeil paradoxal chez l’adulte. En 1969, l’informaticien Edmond Dewan s’inspira du fonctionnement des ordinateurs : au sommeil paradoxal correspondrait un programme de développement du cerveau embryonnaire, d’élaboration de nouveaux circuits fonctionnels après une lésion, et de consolidation des processus de mémorisation. Des expériences sur l’apprentissage des rats montrèrent dans les années 70 que la privation de sommeil paradoxal diminuait l’acquisition de tâches complexes. Bloch et ses collaborateurs suggérèrent alors le rôle essentiel de ce type de sommeil dans la mémorisation. Mais le lien entre apprentissage et sommeil paradoxal chez l’homme n’a pas été clairement établi. Le rêve est-il un moteur ou une conséquence du développement cognitif ? Rien ne tranche.

 

Le rêve comme création artistique

 

Nos rêves comportent parfois des scènes visuelles ou des mélodies foncièrement originales. La capacité créative du cerveau rêvant s’est vue glorifiée par quelques réalisations historiques – prétendument inspirées par des rêves, parmi lesquelles figurent la découverte de la structure de la molécule de benzène par Auguste Kekulé et la composition de la Sonate du diable de Giuseppe Tartini. Le rêve pourrait n’avoir pour fonction la production d’un spectacle fantastique se nourrissant de nos fantasmes et de nos angoisses. Telle est l’hypothèse de Hobson, pour qui notre cerveau est fondamentalement artiste, pour notre plaisir. Le rêve est peut-être une activité gratuite, rendue possible par l’absence de nombreuses contraintes (somatiques, cognitives, morales…) qui pèsent sur le sujet éveillé.

 

Le rêve comme adaptation psychosociale

 

Chez la plupart des indiens d’Amérique du Nord comme chez les aborigènes d’Australie, les expériences oniriques sont au moins aussi importantes que celles de la veille ; elles dictent souvent leur conduite. Dans une étude sur seize tribus indiennes, Stanley Krippner et April Thomsom montrent comment l’interprétation des rêves entretient l’identité culturelle. Chez certaines de ces tribus, comme les Ojibwas, les rêves sont intégrés à la réalité et aux croyances du clan. Cette recherche d’équilibre individuel et de responsabilité sociale témoigne ainsi d’une fonction d’adaptation psychosociale qui, par ses aspects mystiques, n’est pas sans rappeler certaines idées de Jung. Si le rêve des indiens peut nous sembler étrange, c’est sans doute que, depuis Descartes, en dévalorisant la moitié nocturne de notre vie, nous avons opéré une coupure radicale entre le psychique et le social.

 

Le rêve comme rappel à l’ordre

 

Les populations africaines de l’ancienne cité des Esclaves, l’âme humaine, avant de prendre corps dans le sein d’une femme, séjourne dans un « monde de l’origine « , situé symboliquement dans les entrailles de la Terre. Dans ce lieu où demeurent les germes des expériences possibles, elle s’attribue un lot de possibilités, un patrimoine à faire fructifier, et conçoit les grandes lignes de son existence future. A la naissance, elle perd contact avec ce monde où sont conservés les objets fondamentaux de son désir, et ne sera heureuse qu’à condition de leur rester fidèle. Le rêve sera souvent l’occasion pour des entités protectrices (ancêtres, génies célestes) de rappeler le sujet à l’ordre s’il déroge à son destin. Insignifiance, malheur et maladie suivent immanquablement une inadéquation entre son existence effective et celle antérieurement imaginée. Le rêve contribuerait donc à restaurer les bonnes relations de l’homme avec de telles déterminations originelles. Pour l’ethnologue Albert de Surgy, la comparaison de ces déterminations avec les inscriptions du génome peut suggérer une analogie avec la théorie de Jouvet.

 

Le rêve comme gardien des comportements spécifiques

 

Michel Jouvet a proposé, en 1991, la théorie de la programmation génétique itérative ; chez les homéothermes, le sommeil paradoxal réactiverait périodiquement les comportements spécifiques de l’individu (les comportements communs à l’espèce étant sans doute définitivement établis une fois achevée la neurogenèse). Cette hypothèse, étayée par l’observation de souris consanguines et de profils psychologiques de jumeaux homozygotes, suggère que le rêve maintienne l’individuation psychologique, perpétuant une diversité naturelle nécessaire. Mais rien n’assure que le sommeil paradoxal soit seul responsable d’une telle reprogrammation. De plus, où se situe la frontière entre comportements individuels et comportements communs ? Or c’est davantage au niveau idéologique que l’idée de Jouvet a été critiquée : en tant que théorie génétique, elle peut être matière à des discriminations abusives ; c’est pourquoi il rencontra des difficultés à réaliser des comparaisons interethniques sur les caractéristiques du sommeil paradoxal. Cette théorie représente cependant aujourd’hui l’une des seules approches évolutionnistes du problème de la fonction des rêves.

 

Source:Par Olivier Néron de Surgy
Science et Avenir Hors-Série Le Rêve Dec. 96

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Le somnambulisme

Somnambulisme

Un article de Wikipédia, l’encyclopédie libre.

Le somnambulisme, qui signifie en latin marcher en dormant, est une pathologie du sommeil d’origine neurologique.

Il se traduit par un comportement moteur survenant lors d’un éveil incomplet en sommeil lent profond. Généralement limité à des déambulations dans le lieu d’habitation, il peut toutefois conduire à des actes plus dangereux pour le sujet (sortie, défenestration) ou pour d’autres individus (conduite d’un véhicule, comportements violents, voire homicide).

Ils semblent être éveillés, et ont les yeux ouverts. Ils sont capables de répondre à des ordres ou à des questions par oui ou non. Ils semblent toutefois ennuyés par les questions et ils s’irritent si l’interrogatoire est trop long. Lorsqu’on les réveille, ils sont confus et mettent un peu de temps avant de reprendre leurs esprits. Près du tiers des somnambules réagissent de façon agressive. La personne n’a aucun souvenir de ce qu’elle a fait, pas même de s’être levée pendant la nuit. La plupart du temps les épisodes sont courts (quelques minutes et parfois jusqu’à 30min).


Pathophysiologie


 

Le somnambulisme survient généralement durant les phases 3 et 4 du sommeil, ou sommeil profond. Cette phase correspond au premier tiers du cycle du sommeil (pendant les deux premières heures suivant l’endormissement).

Les somnambules ont une régulation anormale des ondes courtes (observables sur un encéphalogramme). Cette régulation est liée au système thalamo-cortical, qui engendre une paralysie musculaire naturelle durant le sommeil.

Ainsi, des séries d’événements moteurs complexes peuvent intervenir sans que le sujet soit conscient.

Le somnambulisme n’est pas dangereux en tant que tel, mais le mouvement sans connaissance consciente peut entraîner des dangers.

Le somnambulisme de l’enfant

Le somnambulisme s’observe le plus souvent chez les enfants, surtout les garçons entre 7 et 12 ans. Ces accès de somnambulisme disparaissent en général à la puberté.

Aux phases ambulatoires les plus courantes s’ajoutent parfois des phases où l’enfant urine dans un lieu innaproprié, utilise des mots obscènes absents de son répertoire courant. La prévention de chutes dangereuses reste toutefois l’aspect le plus important du somnambulisme infantile.

Le somnambulisme de l’adulte

Entre 10 et 20% des adultes seraient sujets au somnambulisme, avec des écarts nets dans certains pays (40% en Suède). Chez l’adulte, le somnambulisme peut avoir des causes psychologiques (notamment en période de stress), psychiques, ou être liée à la consommation d’alcool. Des prédispositions génétiques ont récemment été envisagées après des études menées par l’hôpital universitaire de Berne. Un gène spécifique aux somnambules vient d’être découvert. Un chercheur a réalisé une étude portant sur 74 personnes atteintes de somnambulisme. Il a découvert que 50% d’entre elles possédait un gène appelé HLA DQB1*05 qui fait parti des gènes impliqués dans la régulation du système immunitaire : ces gènes permettent de faire la distinction entre les cellules de l’organisme et celles qui lui sont étrangères. Mais il reste encore à définir la relation exacte entre le somnambulisme et ce gène. En conséquence on peut ce demander si le somnambulisme peut être une maladie auto-immune c’est-à-dire provoquée par un mauvais fonctionnement du système de protection de l’organisme….


Les symptômes du somnambulisme


 

Le somnambulisme simple : on distingue deux cas comportementaux. Pour le premier, l’enfant ou l’adulte s’assoit sur son lit tout en exécutant des gestes plus ou moins adroits. De temps en temps, il peut se mettre à parler. Dans le deuxième cas, le somnambule se lève et déambule dans l’habitation pour ensuite retourner spontanément dans son lit. Ses yeux sont grands ouverts et son regard est inexpressif. Si on lui parle, il peut répondre, il peut même exécuter des ordres. Mais le somnambule s’irrite très vite et devient grognon. Parfois, il peut réaliser des actes relativement élaborés, éviter des meubles, descendre des escaliers, vider une armoire, fouiller le réfrigérateur, se mettre à manger, faire la vaisselle, ou uriner dans un coin; voir même chez les adultes, conduire un véhicule. Sauf dans cette dernière situation, ce type de somnambulisme n’est pas dangereux et se déroule tout au plus une fois par mois durant 10 minutes. Il tend à disparaître au bout de quelques mois ou à la puberté chez les enfants. Si le somnambule commet des actes dangereux pour lui ou pour son entourage, nous passons au second type de manifestation.

Le somnambulisme à risque : c’est une forme accentuée du somnambulisme simple. En effet, la durée dépasse 10 minutes, la fréquence est de 2 à 3 fois par semaine et les actes du somnambule sont dangereux. Par exemple il peut utiliser un couteau, faire des gestes violents qui peuvent le blesser lui et son entourage ou bien, par sa maladresse, il peut tomber (d’une mezzanine ou des escaliers). Lors de ce type de somnambulisme, les risques de défénestrations sont courants.

Le troisième type est nommé le somnambulisme de  » terreur « . Les premières crises de somnambulisme de terreur peuvent apparaître avant 6 ans ou après 10 ans et peuvent persister après la puberté. Les crises débutent tôt après l’endormissement. Lorsque l’on tente de calmer, retenir, réveiller ou consoler le somnambule, celui-ci peut devenir encore plus agressif. Chez l’enfant, le risque de défenestration est deux fois plus important lors de cette crise. Le somnambule est dans un état neurovégétatif (inconscient), il est dans un état de terreur, il court et déambule violemment en poussant des hurlements. Sa fréquence cardiaque, sa respiration et son activité musculaire augmentent. Son cortex cérébral* reste probablement en sommeil lent profond ce qui explique l’amnésie lors du réveil. Ce genre de somnambulisme peut se reproduire plusieurs fois par nuits et cause des problèmes psychologiques au somnambule.


Causes autres que génétique


 

Dans un cadre comportemental:

  • Le stress ou les tensions nerveuses: produites chez l’enfant par des histoires familiales ou des évènements traumatisants, et chez les adultes par la vie actives des adultes.
  • Le manque de sommeil : si l’enfant comme si l’adulte, se couche tard, ses rythmes du sommeil sont bouleversés. Une privation du sommeil peut augmenter la fréquence et la complexité du somnambulisme . En effet , il y a plus de cas de somnambulisme lors d’une nuit de récupération que lors d’une nuit normale ( sur 15 patients 100% on eu une crise lors d’une nuit de récupération contre 60% lors d’une nuit normale ).
  • Les migraines (en particulier chez les femmes)

Dans un cadre environnemental:

  • Une maladie: il existe un lien étroit entre la fièvre et le somnambulisme. Il a été, aussi, associé à la Maladie de Gilles de la Tourette. Certaines formes de l’épilepsie ou d’énurésie peuvent également entraîner le somnambulisme.
  • La puberté: le trouble chez l’enfant peut être lié aux facteurs de croissance comme la puberté.

Dans un cadre toxique:

  • La prise de certains médicaments de la classe des psychotropes est consommé par moins de 10% des jeunes actuels. Il y a moins de consommation que chez les adultes. Les adultes utilisent plus de médicaments contre le stress(particulièrement le lithium), et pour dormir.
  • L’alcool et les drogues.

Traitements


 

Certains patients souffrent de troubles psychologiques liés à leur propre perception du somnambulisme, qui reste assez peu étudié et est mal connu du grand public. Les comportements violents peuvent également avoir un impact psychologique important notamment sur le couple.

Une croyance populaire veut qu’il ne faut pas réveiller un somnambule. Dans les faits il n’y a aucun danger à le réveiller. Il peut seulement être désorienté ou embarrassé. En tout cas, mieux vaut le réveiller que de lui permettre de se mettre en danger.

En tant que maladie, le somnambulisme peut être traité :

  • Dans les cas simples, il faut chercher à supprimer les causes tel que le manque de sommeil, le stress et éviter les exercices violents en soirée. Ils doivent également dormir à des heures régulières et adapter l’environnement : dormir au rez-de-chaussée ou verrouiller la porte de sa chambre.
  • Si les crises se manifestent trop souvent, les médecins peuvent prescrire des benzodiazépines, du diazepam ou du lorazepam, qui suppriment les crises en éliminant les phases du sommeil profond. Mais l’efficacité de ces benzodiazépines se limitent au début du traitement, il s’en suit un phénomène d’échappement.
  • On peut aussi utiliser l’hypnose avec un thérapeute: les résultats semblent efficaces. Si des troubles psychologiques surviennent après les crises, il est préférable de consulter un médecin psychiatre.

Aspect juridique


 

Le principe de la responsabilité pénale et civile nécessite de déterminer le dégré de conscience, de liberté ou d’intention.

Même si le somnambulisme n’est pas considéré comme une maladie mentale, la justice peut se référer aux cas d’infractions commises en état de conscience altérée (ivresse, drogue, folie, hypnose, …)

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La psychologie inversée, le contraire pour mieux dormir.

L’art de la psychologie inversée, tentez de faire le contraire 😉

Tenter de rester éveillé au lieu de chercher à vous endormir, la méthode peu sembler surprenante, mais finalement c’est peut être pas si bête… La psychologie inversée peut vous permettre de tomber de sommeil plus rapide et de manière peut être plus efficace que de compter les moutons.

Une étude menée sur deux groupes d’insomniaques à l’Université de Glasgow montre que la psychologie inversée peut être une véritable solution pour aider les personnes à s’endormir.

Testez la psychologie inversée

Tandis qu’un groupe a été laissé à leurs propres dispositifs, l’autre a dit de rester éveillé aussi longtemps que possible. Attention il est interdit de se déplacer ou de regarder la télévision.

Maintenant je vous laisse deviner le quels de ces deux groupes à mis le plus de temps à s’endormir 😉

Le tout c’est de trouver la meilleur solution à votre sommeil, je vous laisse essayer cette technique. Le mieux reste de se vider la tête et de compte les moutons non ?

vos-reves.com pense que cette solution est plutôt intéressante a tester pour obtenir de meilleurs résultats. Et vous qu’en pensez vous ?

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Bière

  • La bière et l’hydromel sont depuis toujours des symboles de repos et de santé.
  • Boire de la bière : santé et bons revenus.
  • Fraterniser avec quelqu’un : des amis bons et utiles
  • Renverser de la bière : mariage ou baptême.
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Les étapes

Une nuit de sommeil est constituée d’un certain nombre de cycles qui se succèdent les uns aux autres. Chacun d’entre eux dure environ quatre-vingt-dix minutes, et notre sommeil est ainsi découpé en périodes égales d’à peu près une heure et demie. Ces périodes elles-mêmes sont divisées en plusieurs phases.

 


 

Le stade du sommeil léger ou stade 1.

 

à l’heure habituelle où vous vous couchez, le cerveau sécrète une hormone, la sérotonine, qui provoque somnolence, bâillements, picotements des yeux. Si vous vous couchez à ce moment-là, vous vous endormez facilement. Ce stade est très court et caractérisé par de petits spasmes brusques et de petits tressaillements musculaires, tandis que le pouls et la respiration se ralentissent, deviennent très réguliers et que la température corporelle s’abaisse. à ce moment, nous ne rêvons pas encore, seules quelques images nous traversent l’esprit, et le moindre bruit nous réveille.

 


 

Du sommeil léger au sommeil lent profond, le stade 2:

 

Beaucoup plus long, représente une étape transitoire. L’activité cérébrale se réduit, la diminution des sensations est nette, mais un bruit léger reste susceptible de provoquer le réveil.

 


 

Le sommeil lent profond véritablement installé ou stade 3:

Durant cette phase, vous êtes presque totalement isolé du monde extérieur, et il est difficile de vous réveiller. Les muscles sont totalement relâchés, la température est basse et la respiration très lente et régulière. C’est dans cette période que peuvent survenir des troubles du sommeil comme le somnambulisme.

 


 

Le  » sommeil paradoxal « , ou stade 4, est la phase la plus étonnante :

Le corps paraît totalement détendu et les muscles relâchés comme au cours du sommeil lent profond, mais, en même temps, l’activité cérébrale est très intense. Sous les paupières, les yeux sont animés de mouvements très rapides, une érection se produit souvent chez l’homme et le clitoris de la femme augmente de volume, le pouls et la respiration sont irréguliers.Cette période de sommeil paradoxal est celle où l’on rêve de façon intense. Elle représente en moyenne 20% du temps total de sommeil pour une nuit normale, mais sa durée s’allonge à mesure que la nuit avance. Très courte lors des premiers cycles, elle peut se prolonger plus de vingt minutes lors du cinquième ou sixième. Ce qui signifie que plus nous dormons, plus nous rêvons, et inversement.

Lorsqu’ils sont réveillés au cours de cette période, la plupart des individus peuvent décrire très facilement leurs rêves ou leurs cauchemars, en évoquant des détails précis.

Cependant, le sommeil joue sans doute un rôle positif dans la mémorisation et l’assimilation des connaissances. Ainsi, certaines études ont montré que lorsque l’on fait apprendre des mots, en début de journée à un groupe d’individus, et juste avant de dormir à un autre, on s’aperçoit que c’est le second groupe qui s’en souvient le mieux le lendemain. Il faut donc bien admettre que le sommeil est un facteur essentiel d’intégration des connaissances, dans la mesure où un bon sommeil combat le stress, qui influe sur la mémorisation.

Malheureusement, cette perspective a été abandonnée, notamment parce que la masse d’information ainsi diffusée ne pouvait être réellement retenue par l’élève totalement passif, mais aussi parce qu’il apparaissait très difficile de faire co ncider précisément le moment de diffusion des informations avec le temps exact des phases de sommeil paradoxal.

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