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Coucou Baptiste,

Je n´ai pas rêvé de couteau depuis la dernière fois! Mais cette nuit j´ai de nouveau rêvé de mon ami. Seulement mon rêve part dans tous les sens alors j´ai beaucoup de mal à le comprendre… En fait il s´agit de deux rêves mais le 2ème semble être la continuité du premier. Mais ils me semblent très décousu.

"J’arrive au lycée, qui ne ressemble pas au lycée. Les murs sont de couleurs marrons/jaune mais les gens sont habillés avec des couleurs plutôt sombres. Je retrouve mon ami qui est assis sur une table ronde, on se fait la bise et je m’assoie à côté de lui. En face de lui est assise une fille de ma classe. D’un seul coup ils se mettent à pleurer. Pour les consoler je leur frotte gentiment le dos à chacun, de façon parallèle et je leur demande ce qu’ils ont. Ils m’explique qu’un professeur, que je ne connais pas, de l’établissement est décédé d’un cancer.

Un jeu est organisé, il faut faire des équipes de deux. Je me mets avec mon ami. On doit assister à un spectacle. On rentre en premier dans une sorte d’amphithéâtre blanc construit en colimaçon. Il s’assoit tout en bas, devant un orchestre (il n’y a que les instruments, pas de musiciens.) mais moi je veux aller tout en haut pour bien voir la scène car à la place où il se trouve, on ne voit que l’orchestre et pas la scène. Je lui dits de monter avec moi mais il refuse. Après avoir un peu insisté sans succès, je monte m’assoir seule tout en haut. Les autres spectateur arrivent et s’installent.

Une fille arrive et s’assoit à côté de moi mais à présent il ne s’agit plus d’un amphithéâtre mais d’un manège. Une sorte de chenille dans les airs. Notre siège s’élève en même temps que les autres et on fait des tours comme ça. Une fois que l’on peut descendre je rejoins mon ami.

A présent je suis dans une grande maison marron, c’est l’anniversaire d´une ancienne amie que j’ai connu en primaire. Elle m’a invité ainsi que d’autres personnes, mon ami est là aussi. A un moment on passe tous dans une chambre et je découvre un miroir déformant. Je reste un moment à me regarder dedans en prenant des pauses.

2ème rêve :

J’envoie un mail à mon ami pour lui raconter le rêve que je viens de faire mais je rajoute que l’on s’est embrassé à la fin (à ce moment là j’en suis persuadé). Il m’envoie un long mail pour me répondre. Je me souviens juste qu’au début il écrit « C’est normal… » Puis plus loin il me demande « Si mon rêve était plutôt agréable/cauchemars… » Il met d’autres mots mais je ne me souviens pas lesquels.

Puis je le retrouve dans un lieu inconnu, une ville. Nous sommes très complices. A un moment je m’agrippe à son bras, il est content, moi aussi. Seulement je panique car je suis persuadé d´avoir un anniversaire à souhaiter mais je n´arrive pas à me souvenir si il s´agit du sien ou de celui de mon père.

Plus tard, je dois rejoindre mes parents dans un restaurant qui s’appelle « Le Mépris. » pour y fêter l´anniversaire de mon père, mais je suis poussé à suivre un groupe de gens qui me font faire le tour de la ville. Lorsque je peux enfin rejoindre mes parents dans le restaurant, il est midi à ma montre pourtant il fait nuit. On mange à l´extérieur du resto.

Après je me retrouve en cours mais l’atmosphère ressemble à celle d´Harry Potter. Les couleurs sont marrons foncées, la salle de cours est bondé de monde et c’est ma prof de français qui donne le cours. Je suis assise à côté de mon ami. On tient tous un carnet de dessin et la prof nous demande de dessiner quelque chose. Mon ami commence à dessiner un soldat et je l’imite. Mais la prof nous rappelle que l’on doit faire jouer notre imagination. Alors j’efface tout et cherche une nouvelle idée.

A la fin du cours, je rejoins mes parents. On vit dans une petite maison en bois, en contrebas de l’école. J’ai une petite sœur. Seulement, on doit toute les 2 retourner à l’école chercher quelque chose. Pour cela on doit passer par une forêt remplit de baies empoisonnées. On ne peut pas s’empêcher de les manger sur le chemin. Pour ne pas tomber malade, il faut dire des grossièretés tout en les mangeant alors tout le long du chemin à l’allée comme au retour on dit à voix haute tous les gros mots possibles.

Une fois rentrée, ma mère m’accompagne dans le jardin. On y fait pousser des pommes, mais elles ne sont pas sur des arbres, elles sont posées une par une sur des cubes géants. Nous avons peur que des baies empoisonnées aient poussées dans les pommes. En les ouvrants nous ne découvrant pas de baies mais de grosses abeilles difformes qui sont censé être au stade de cocon."