Des routes, trop de routes!
Bonsoir Baptiste! (Si c’est toujours le même interprète.)
Hier soir, du 25 au 26 août, j’ai fait un rêve un peu prenant, comme on en a l’habitude d’en lire ici.
Je le partage sans me souvenir de tous les détails… parce qu’il y en avait TROP.
Je suis dans un style de tournant -si on peut appeler ça comme ça quand la vie ne nous a jamais paru aussi plate- et je vais probablement en rajouter d’autres rêves demain.
Ce que j’ai rêvé:
Je me suis réveillée en retard pour aller au boulot et dans le stress, je roulais vite. C’était un vrai méli-mélo de routes et je ne m’y retrouvais pas! Il pleuvait; on y voyait pas clair et ça glissait. Il y avait des travaux et des déviations à n’en plus finir et je traversais des endroits que je ne reconnaissais pas.
C’était affreux, stressant, trop vite, angoissant même. Et gris.
Ensuite, j’étais dans une sorte de SPA qui maltraitait violemment les animaux. L’horreur.
J’ai remis une couverture sur le dos d’une tortue qui l’avait perdue.
Bizarre, hm?
10 Réponses
Bonjour Baptiste!
De même!
Aller au boulot, c’est se préparer, prendre sa voiture pour se rendre là où ça va se passer toute la journée.
Le boulot, c’est le travail nécessaire quotidien pour faire sa part dans la société. Ce travail nous aide aussi à vivre grâce à l’argent reçu en récompense de nos aptitudes. Il devrait (parce que c’est pas le cas de tout le monde) pouvoir être épanouissant et nous correspondre.