Ce qui est écrit en orange s´efface.
Bonjour!
J´ai rêvé d´examens, et comme mes résultats sont vendredi, je dois dire que ça me fait carrément flipper!
J´arrivais à la salle avec une amie. Je me souviens qu´elle me demandait si je stressais, et j´ai simplement soufflé en lui disant que ce n´est rien d´impossible. Pour moi, tout roulait.
Au lancement des sujets, j´ai d´abord pas compris grand-chose, puis je me suis finalement jetée dedans et j´ai commencé à rédiger.
J´étais vraiment confiante dans ce que j´écrivais, et même que je m´octroyais quelques minutes pour me ´vanter´. Au final, le temps me rattrapa et c´est quand je sus qu´il ne me restait que moins d´une heure que j´ai commencé à paniquer. J´ai eu comme une envie de me lever et de partir, comme pour abandonner, mais je tins bon.
Il semblait que le surveillant se tenait à côté de moi, m´encourageant à terminer. J´écrivais en orange et vite, et du coup, mal. Mais le problème, c´est que ma feuille était comme une ardoise: et donc mes lignes s´effaçaient.
Le surveillant me disait que ce n´était pas grave, et il m´aida à reconstruire ma copie. Sur une autre feuille, à l´aide d´un crayon, il retranscris en mots-clefs et prise de notes ce que je lui dictais. Je me souviens qu´il organisait ça dans des rectangles distincts.
Devrais-je craindre mes résultats?
26 Réponses
Bonjour Baptiste!
Si je suis candidate, c´est que je suis volontaire, que ça vient de mon plein gré. De ce côté-là, je pense que nous sommes d´accord!
Je suis donc d´accord pour subir quelques ´contraintes´ afin de prouver mon niveau, voir si j´ai assez appris pour pouvoir continuer la suite de ma vie.
Cela pourrait être un défi que j´ai à relever, et que je serais aidée?
S´il s´agit d´un endroit réel, je ne pense qu´au monde qui m´entoure, l´extérieur, etc.
Par ailleurs, ça me fait soudainement penser aux vœux que l´on doit soumettre pour assurer son post-bac. Chaque école choisi pèse notre ´degré d´instruction´ et par conséquent, j´en suis candidate -à ces écoles.
Je suis totalement dans le brouillard, je dois avouer…