Bus et vêtements !
Bonjour Baptiste,
Suite à votre conseil, voici les deux rêves qui ont suivi le précédent « relation de couple et nourriture »…
Merci beaucoup de m’aider dans cette démarche, votre aide est précieuse 🙂
1/ Dans ce rêve, était concernée la ligne de bus C6, et il était bien question de « Juliette ».
Je ne la voyais pas d’un point de vue physique, par contre dans ce rêve je pensais à elle.
Et il était question d’une nouvelle coupe de cheveux pour elle.
Je me trouvais sur le trottoir, à l’arrêt de bus « 8 mai 1945 », le bureau de Poste situé du même côté que l’arrêt (comme dans la réalité).
Une personne conductrice de bus était en compagnie d’un homme ou d’une femme ?
Cette personne je ne la voyais principalement que de dos…
Elle parlait de « Marie Alliance » pour désigner cette femme ou cette « Juliette « .
2/ Je suis avec mes grands-parents paternels (décédés) ainsi qu’avec mon oncle et ma tante (paternels).
Il se trouve que ma grand-mère se sent mal, elle est allongée sur un lit, et il est nécessaire de l’emmener à l’hôpital.
Je sais qu’il est nécessaire de faire vite mais qu’en même temps il y a le temps de…
C’est assez paradoxal !
J’ai cette impression que toute la scène se passe en extérieur, je vois des escaliers (gris, aspect béton) et les utilise aussi, le temps est gris, il pleut.
Je suis en pyjama (dans les tons rouge) et je suis à la recherche de vêtements…
Je ne veux pas emmener ma grand-mère en pyjama.
Je me dépêche tout en prenant le temps de regarder à droite, à gauche…
Je suis à la recherche de vêtements appropriés…
Puis, au cours de cette recherche, je trouve des chaussures… Si bien qu’il ne me reste plus qu’à trouver une tenue pour être prête.
Ensuite, mon grand-père, se tient face à moi en haut de cet escalier…
Il me dit que le front de ma grand-mère est froid…
A ce moment-là, j’ai cette pensée « elle est morte » et de la façon dont mon grand-père l’exprime et me regarde, cela me laisse vraiment cette impression qu’il le pense aussi…
Mais je continue toujours de chercher ces vêtements dont j’ai besoin parce que je ne suis pas certaine qu’elle soit décédée puisque je ne vois pas comment elle est, je visualise uniquement en pensée comment pourrait être son état.
Dans ce rêve, je fais tout mon possible pour la sauver…
Et, je suis à la recherche de ces vêtements pour être prête à l’emmener…
Voilà pour le moment !
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Cette différence entre « idée » et « pensée », je la conçois de cette façon.
Pour ma part, l’idée vient avant la pensée.
Et, la « différence » se justifie par le destinateur soit « ce » qui envoie le message.
Pour être plus explicite, la pensée est doute, elle compare, questionne, analyse, elle est liée au passé, aux croyances, aux peurs… Elle est issue du connu…
Ce qui conduit à : avec une pensée, il n’y a pas de neuf ou alors il est question de faire du vieux avec du neuf (« modifier dans les apparences sans rénover »).
Alors que l’idée, est mue par une impulsion, elle correspond au présent, à ce qui est nécessaire à l’instant T.
L’idée peut paraître irrationnelle, et pourtant c’est elle qui permet de poser la bonne action, de poser cette action juste qui permet de « sortir » du connu, d’être » au bon endroit au bon moment « . En d’autres termes, l’idée est quelque chose de « pure », c’est un message qui transcende le connu et pour lequel il n’y a aucun doute.
Par exemple, une idée jaillit, je ne l’écoute pas, à la place, je me laisse saisir par le « mental » qui me ramène vers quelque chose de connu, de plus rassurant, de plus sécuritaire.
J’ai un doute, je compare, j’analyse… mais je décide tout de même de poser cette action, je m’engage dans cette voie…
Au final, je me rends compte, dans l’après-coup, que si j’avais su, j’aurais dû écouter ce qui a résonné comme juste en amont mais que j’ai préféré ignorer (soit l’idée).
Après cela est pour tout ce qui est accomplit au quotidien peu importe que ce soit pour une petite chose ou une grande décision à prendre.
Concernant les vêtements et le fait qu’ils symbolisent cette recherche d’une façon d’être à l’extérieur pour avancer de façon juste dans ma vie sentimentale est aussi exacte.
Et plus qu’une façon d’être se serait une manière naturelle d’engager la conversation, par exemple, et dans ma situation, avec « Juliette »…
Quant aux ballerines, en effet, elles pourraient bien signifier cette légèreté, cette douceur, cette féminité dans cette manière naturelle d’engager la conversation.
Et tout à fait, il serait bien question de prise de conscience dans ce passage de l’intérieur vers l’extérieur par mon « grand-père » (comme le troisième trait de l’hexagramme : être capable de m’extérioriser ou rechercher davantage de fluidité afin d’élargir mes possibilités d’action).
Aussi, puisqu’ « il » franchit l’obstacle, distingue clairement ce qui est derrière et voit clair… Ceci me fait penser à ce passé, à cette prise de conscience (à cette période où j’ai été davantage à l’écoute que de moi-même, ou j’étais plus dans le « faire à ma façon »… Cette période où j’ai confondu vitesse et précipitation).
Après, lorsque je précise « quitter les apparences extérieures pour se relier à la beauté intérieure » c’est parce que les apparences extérieures se présentent à travers le spectre de la pensée et comme précisée plus haut, si je m’en remets à la pensée, elle va comparer, analyser… Si bien que j’aurais une vision « erronée » de la situation…
Alors, en ce sens, il est essentiel de se relier à sa beauté intérieure, sa source ou l’intuition afin de se distancier des apparences pour voir ainsi les choses telles qu’elles sont (c’est cet état d’être qui permet de définir cette limite claire entre réalisable et inaccessible pour davantage de fluidité).
Voilà pour ce soir Baptiste 🙂