Baptiste, mon dernier rêve.
Baptiste, voilà mon deuxième rêve.
Je faisais une balade à cheval avec tout le club d’équitation dans la forêt. À vrai dire, on en revenait.
J’avais un cheval génial mais qui aime beaucoup galoper à fond les ballons. Je me sentais bien mais j’espérais quand même que tout se passe bien et que j’arrive à le tenir.
On a tous débarqué à cheval à la fin de notre parcours au grand galop. On était des centaines, un vrai troupeau qui martelait le sol de sabots.
On était accueillis par une foule de personnes de notre famille et nos amis.
À la fin de notre course, les cavaliers se détendaient, buvaient un coup. Il y avait tout âge et tout niveau. On m’a demandé si je n’avais pas vu deux filles dont une qui devait s’appeler quelque chose comme « Tash ». Je disais non.
Je les avais rencontré par la suite, discutant et marchant dans une longue fontaine. Avec le monde, je n’ai pas eu envie de rechercher celles qui les cherchaient, me disant qu’elles finiront par se rencontrer. Je cherchais mes parents pour leur demander de rentrer à la maison.
Parmi les visages, j’ai croisé plusieurs fois mes parents, ou leurs sosies.
J’ai croisé mon père et mon frère en premier. Puis suis tombée sur leurs amis, surprise.
C’est tout ce dont je me souviens.
Est-ce que ça aide?
Merci!
43 Réponses
Un aéroport, c’est souvent un lieu de départ pour de grandes destinations, mais pas que.
L’aéroport est blanc du sol au plafond. Il était un peu petit. Les avions étaient dehors.
Il y a un grand panneau d’affichage des départs noir, écrits en lettre digitales jaunes. Je me tenais juste en-dessous, ce qui fait qu’il me semblait encore plus grand. J’ai dû passer quelques barrières pour aller le voir (du style en escargot, comme pour les files d’attente).
Il y avait pas mal de monde pour un soir. Ça bougeait de partout, mais j’étais la seule à consulter les panneaux, eux savaient où ils allaient.
Je décrirais Strasbourg comme une ville cosmopolite. Le nom de la ville veut d’ailleurs dire « carrefour ».